Blade alla rendre visite a une amie spécial celle ci avais pris par a de nombreuse bataille au près de blade et même leur rencontre fut sur un champ de bataille, il la connaisais pas en détaille elle aussi.Mais cela ne les géna pas pour ce préter main forte dans les moment difficile.Cétais pour cette raison qu'il voulais aller a Oto, pour en partie lui rendre visite.
Quand il arriva devant l'hopitale il remarqua son aspec sinistre, il entra doucement, les porte grinça et personne a l'horizon, il la chercha chambre 140-141.Et quand il fut là, il ne vis qu'une créature avec des cheveux long de couleur bleu.
"Es-ce toi?"
A ses mot la créature réagis et vanca devans lui près a l'attaquer celle ci avais un sabre incorporer dans sa main droite et il étais enormement gros.Quand la créature regarda blade, un medecin fit son entrer et lui expliqua que blade allais mourir ici de la main de son amie.Ne pouvant laisser faire cella il tua en premier le medecin qui ne pouvais plus le renseigner et subit une attaque de son amie a l'épaule gauche.
"Vais-je devoir te vaincre?..."Dit-il d'une voix assez triste.
Le montre porta un coup a blade qui celui ci pu esquiver
"je crois que oui..."Disant cela il remis sa capuche, comme la mort il fut pour elle.
Blade alla a toute vitesse sortie son épée main droite et non son katana cette fois ci, puis se protegea avec du coup qu'elle lui lançis, il continua vers elle et l'embrocha sur son son épée.
"Désoler, repose en paix"
A ses mots la il sorti son katana de main gauche et coupa la tête du monstre qui ne pouvais plus esquiver vu qu'il étais coincer sur la lame de a blade.
*Le sang fut une fois de plus verser...*
Blade regarda au sol et dans la main du monstre ce trouvais, quelque chose, un objet rappelan son passer, c'étais une chaine inscrit dessus blade, c'étais lui qui lui avais offer.Il l'attacha sur son épée et repartie avec le corps en dehors du batiment, et l'enteras et alla chercher une pierre la tailla en morceau souhaiter et la posa sur sa tombre et mis une rose rouge, Pourquoi rouge cette rose, sans doute qu'il l'aimais.
Il repartit atrister de tout cela, vers son avenir surment s'ombre lui aussi.